Type de projet : architecture modulaire, réemploi
Concours – Architecture
Commanditaire : Bellastock – Fondation Louis Vuitton
Nature : Module de vie
• Espace de détente : compact, mobile et déployable
• Projet utilisant des matériaux issus du réemploi
Surfaces : 6m²
Coût : /
Calendrier : 2019
Equipe : Aurélien Cantegrel, Anna Cholle, Henri de Dieuleveult, Léa Gasmi
Si les principes de Charlotte Perriand nous sont connus et familiers, les mettre en œuvre dans la conception d’un module de vie relève plus du défi technique et esthétique que de l’exercice de style. Il nous est vite apparu que la simplicité apparente, qui découle d’une volonté de retour à l’essentiel, et la fonctionnalité pragmatique de son mobilier exige une précision du dessin et une capacité de projection élevée.
Inspiré par la conception du vide de Charlotte Perriand, notre module de vie est un espace de pause, conçu pour permettre à une personne de se détendre, de s’allonger et de lire. Cette parenthèse est créée horizontalement par une bibliothèque et une niche dans laquelle se développe une banquette qui reprend simplement les lignes de la chaise longue, quelques rangement et deux éclairages. Verticalement, elle est définie par le plancher et la toile.
À l’usage et au travers de la bibliothèque, ce module révèle une porosité transversale conservant un lien permanent avec l’extérieur et le paysage. Nous concevons un module de vie destiné à être exposé et dans l’idéal réutilisé à long terme. Pour répondre à cette première nécessité, nous l’avons voulu mobile et déployable. L’espace est conçu de manière à pouvoir se réduire à l’échelle d’un meuble et être facilement manutentionnable. D’abord pour une facilité de mise en œuvre mais surtout pour répondre au besoin de compacité qui permet une plus grande flexibilité d’usage.
Fermé, le module se présente comme un bloc massif, monté sur roulement, dont l’une des faces, ouverte, révèle l’intérieur. S’y loge dans tout le volume, un mobilier inspiré des bibliothèques iconiques de Charlotte Perriand. En séparant le caisson hôte de la bibliothèque qu’il contient, on dégage, dans l’interstice un espace de vie complètement libre de 4m². Le déploiement effectué, une structure tubulaire permet de relier les deux éléments. En pied, cette dernière permettra le développement d’un plancher accordéon. En couverture, une toile déroulante translucide, rigidifiée par des tiges de bambou, vient protéger l’espace des intempéries et créer une lumière douce et diffuse.
Si les principes de Charlotte Perriand nous sont connus et familiers, les mettre en œuvre dans la conception d’un module de vie relève plus du défi technique et esthétique que de l’exercice de style. Il nous est vite apparu que la simplicité apparente, qui découle d’une volonté de retour à l’essentiel, et la fonctionnalité pragmatique de son mobilier exige une précision du dessin et une capacité de projection élevée.
Inspiré par la conception du vide de Charlotte Perriand, notre module de vie est un espace de pause, conçu pour permettre à une personne de se détendre, de s’allonger et de lire. Cette parenthèse est créée horizontalement par une bibliothèque et une niche dans laquelle se développe une banquette qui reprend simplement les lignes de la chaise longue, quelques rangement et deux éclairages. Verticalement, elle est définie par le plancher et la toile.
À l’usage et au travers de la bibliothèque, ce module révèle une porosité transversale conservant un lien permanent avec l’extérieur et le paysage. Nous concevons un module de vie destiné à être exposé et dans l’idéal réutilisé à long terme. Pour répondre à cette première nécessité, nous l’avons voulu mobile et déployable. L’espace est conçu de manière à pouvoir se réduire à l’échelle d’un meuble et être facilement manutentionnable. D’abord pour une facilité de mise en œuvre mais surtout pour répondre au besoin de compacité qui permet une plus grande flexibilité d’usage.
Fermé, le module se présente comme un bloc massif, monté sur roulement, dont l’une des faces, ouverte, révèle l’intérieur. S’y loge dans tout le volume, un mobilier inspiré des bibliothèques iconiques de Charlotte Perriand. En séparant le caisson hôte de la bibliothèque qu’il contient, on dégage, dans l’interstice un espace de vie complètement libre de 4m². Le déploiement effectué, une structure tubulaire permet de relier les deux éléments. En pied, cette dernière permettra le développement d’un plancher accordéon. En couverture, une toile déroulante translucide, rigidifiée par des tiges de bambou, vient protéger l’espace des intempéries et créer une lumière douce et diffuse.